TOP SECRET : les "cunning plans"

Il faudra quand même qu'on fasse notre possible pour appater les Allemands sur Sens et Troyes. Faudra des arguments, leur donner l'image d'une force inférieure et vulnérable se dérobant sous leurs coups. Cela doit nous permettre ensuite de prendre Troyes par le nord et, en cas d'avance trop rapide des Autrichiens, de les garder sur la rive droite de la Seine pendant qu'on exterminera leurs alliés dans le triangle Troyes-Sens-Nogent

Les Bavarois me font quand même un peu peur, je pense qu'ils seront, avec les Russes, parmi nous adversaires les plus redoutables. Si on peut mettre le paquet sur leur élimination avant qu'ils ne se regroupent, je dis pas non. Ca voudrait dire avoir de la solide cavalerie en tête de chaque pince qui serait capable de les accrocher s'ils essaient de se retirer vers l'est ou s'ils cherchent à se regrouper, et les engager au plus vite.
Et puis quand même, imaginez, tomber sur les Bavarois avec la grande batterie, ça a de la gueule non?

Il n'y a pas moyen de profiter de notre vitesse pour envoyer des troupes rapides, légères et en faible nombre inquiéter russes et autrichiens sur leurs arrières (sud et nord) et apporter de l'info pour anticiper ?

Assez peu de troupes pour ne pas dégarnir sur le plan principal ?

(Voilà, j'ai regardé deux heures la carte et réfléchit la moitié de ma nuit d'insomnie pour n'avoir pas de meilleure idée...)

Ya probablement des cosaques en face. Si on engage de la cav contre les Russes, je préfère qu'on le fasse à l'échelle divisionnaire, sinon ça se passera mal pour les petits groupes de hussards...
(à cet égard justement je me disais qu'il nous faudrait éventuellement une ou deux brigades anti-cosaques capables de faire la chasse à ces couillons)

@AJ

1° J'ai msn, mais pas du taf (ça peut se faire, mais je préfère éviter...)

2° Oui, je pense que les bavarois doivent être efficace, mais à priori on va leur tomber dessus avec l'armée du nord et un tiers de l'armée de Paris par trois directions différentes. Le pire qu'il puisse nous arriver c'est que leur placement nous empêche de les laisser filer vers une autre armée (ou de gagner, mais en subissant de lourdes pertes, mais ça, c'est un risque qu'on va courir pendant toute la campagne).
On peut par exemple prévoir que les deux forces les plus faibles de la coalition vont peut être chercher à se regrouper pour agir de concert en direction de Paris. Délaissant soit l'axe de Meaux, soit celui de Sens...
Ou attendre les austro-russes...

@Bob

Comme le dit AJ, je pense que les cossaques nous empêcheront ce genre de stratégie. Mais de toute manière, à l'échelle de chaque joueur il faudra essayer de le faire tout de même autour de soi.

@Tous

Ce qu'il faut étudier maintenant c'est comment coincer les bavarois une fois qu'on les trouve (parcequ'on ne sait pas vraiment ou sera leur corps de bataille principal) et comment on tombe sur les allemands le plus vite et le plus puissamment possible en coupant les communications avec les austro-russes (qui sont peut être plus près qu'on ne le pense...)

Edit

Sinon des remarques sur mes idées d'ouvertures ?

A 40.000 avec probablement des troupes dans les villes récemment occupées, je pense que leur "corps de bataille principal" va pas être très costaud, surtout si la carte de SP s'avère exacte.

L'idéal, ce serait aussi de pouvoir tuer dans l'oeuf toute troupe bavaroise enfermée dans une ville en l'empêchant de rapporter des nouvelles vers l'arrière en faisant de grands mouvements balais avec la cavalerie...?

Citation :

1° J'ai msn, mais pas du taf (ça peut se faire, mais je préfère éviter...)

T'en fais pas c'est juste pour une histoire de dossier partagé par pour chatter.

Citation :

Sinon des remarques sur mes idées d'ouvertures ?

Tu peux faire un dessin? Je suis pas sûr de savoir de quoi tu parles...?

Alain-James a écrit:

A 40.000 avec probablement des troupes dans les villes récemment occupées, je pense que leur "corps de bataille principal" va pas être très costaud, surtout si la carte de SP s'avère exacte.

L'idéal, ce serait aussi de pouvoir tuer dans l'oeuf toute troupe bavaroise enfermée dans une ville en l'empêchant de rapporter des nouvelles vers l'arrière en faisant de grands mouvements balais avec la cavalerie...?

Je ne sais pas quelles limites va imposer SP aux routes accessibles à nos troupes, mais je me suis fié à la carte de Cassini pour voir les mouvements possibles à effectuer par l'armée du nord.

Et le meilleur coup à faire contre les bavarois, à mon sens, c'est de faire descendre une partie de cette armée de Reims vers Averney pour franchir la Marne vers Epernay, ce qui les place entre Chalons et Meaux (et en position de descendre sur Troyes par là également (donc de couper les communications)).

Citation :

T'en fais pas c'est juste pour une histoire de dossier partagé par pour chatter.

Oki

Citation :

Tu peux faire un dessin? Je suis pas sûr de savoir de quoi tu parles...?

Pas du taf non, ce soir.
Mais regarde les itinéraires dont je parle sur la carte de Cassini, tu verras.
(L'avantage de la calquer sur googlemap c'est de pouvoir rechercher les noms de villes sans avoir à scroller à l'aveugle)

Moi, je ne propose plus rien, parce que finalement, on discute, on discute mais on avance pas...

On est d'accord sur la philosophie générale, maintenant qu'on fixe le rôle de chacun:
- quel est le trajet de l'armée du Nord, elle part d'où, comment...
- quel est le trajet de l'armée de Paris...
etc.

Parce que là, chacun amène sa variation et finalement, ça devient une cacophonie pas possible.

Pour présenter le résultat de vos cogitations, je propose un système simple:

* une espèce de tableau ou vous indiquez les étapes et le jour approximatif où on devra y être...[un peu comme sur un GPS].
exemple: Armée du Nord, jour 1 doit atteindre Reims, jour 2 doit atteindre Ibiza etc...
Chacun aura ce "tableau" [et comme ça, au troisième jour de la campagne, on sait plus ou moins où on doit envoyer nos messages...].
Et puis personnellement, on peut dire où on en est de ses objectifs...[Montgomery doit atteindre Caen jour J+1... ahem...].

* une carte. [c'est toujours plus explicite...n'oubliez pas que je suis Belge, je ne me suis jamais vraiment aventuré dans cette contrée hostile...sauf une fois à Epernay...me dire "Verdun-Meaux" a autant de sens que quand je vous dit "Tournai-Alsemberg".].


C'était mon post utile...

Moui, il serait peut être judicieux que vous vous répartissiez les rôles quand même.

On a les grandes lignes pour le début des opérations et la conduite à tenir.

Je vais voir pour faire un tableau "à la Oli" pour mes propositions de mouvement initiaux d'ici ce soir.

@Oli

Sinon, je te rassure (ou pas), je connais encore moins bien que toi la région.
Je n'y connais rien en villes et villages français sorti de Paris, le nord de la petite couronne et du pays basque... Donc...


Toi au moins tu as déjà été à Epernay...

+1 avec Oli

Qu'on se cale définitivement sur les rôles de chacun, parce que sinon, on va toujours remettre 100 sous dans le bastringue sans vraiment faire avancer les choses. Dès qu'on a un chef, ben on suit le chef au mieux et tant pis si personnellement, on est pas d'accord

Bon benh on attend JP alors?

Par contre, je précise, autant je me sens à l'aise au niveau stratégique, autant au niveau tactique dans tous les jeux vous avez vu que ça péchait pas mal. A vous de voir si vous voulez vraiment de moi en rougeaud, je sais pas si c'est l'idée du siècle hein.

Alain-James a écrit:

Bon benh on attend JP alors?

Par contre, je précise, autant je me sens à l'aise au niveau stratégique, autant au niveau tactique dans tous les jeux vous avez vu que ça péchait pas mal. A vous de voir si vous voulez vraiment de moi en rougeaud, je sais pas si c'est l'idée du siècle hein.

On est pas obligé de foutre toutes les responsabilités du planning sur JP...[enfin, on peut l'attendre, peut-être aime-t-il faire ça...].
Certes, il veut faire Napoléon, mais ce n'est pas bien de juste lui refiler la tâche d'un Berthier...

Moi, stratégiquement, je suis pas un sur-doué [toujours trop attentiste], mais tactiquement, ça va...[sauf quand il s'agit de bateau]...en fait, je suis surtout le mec ayant le plus de bol aux dés qu'on ait jamais vu [sauf exception].
Exemple: à Liebstadt, pendant qu'AJ-Ney se voyait attribuer le pire jet de l'histoire [et qui le laissait même blesser], moi je faisais le tirage magique [bon, avec la vieille garde pour relativiser] qui perçait et détruisait entièrement le centre russe...et conduisait à la débandade de toute l'armée de Vinsoliman.

Alain-James a écrit:

Par contre, je précise, autant je me sens à l'aise au niveau stratégique, autant au niveau tactique dans tous les jeux vous avez vu que ça péchait pas mal. A vous de voir si vous voulez vraiment de moi en rougeaud, je sais pas si c'est l'idée du siècle hein.

J'ai encore en souvenir le fameux "Bouge Patate !!"

Alain-James a écrit:

Bon benh on attend JP alors?

Par contre, je précise, autant je me sens à l'aise au niveau stratégique, autant au niveau tactique dans tous les jeux vous avez vu que ça péchait pas mal. A vous de voir si vous voulez vraiment de moi en rougeaud, je sais pas si c'est l'idée du siècle hein.

Ca sera RP alors, parceque bon Ney au niveau tactique c'est pas trop ça hein...
(Encore que, dans cet univers, si on a gagné en Belgique, peut être que le stress l'a moins usé et lui a fait prendre moins de décisions précipitées)

Cela étant dit, le coté tactique du vol de l'aigle ne me semble pas non plus excessivement complexe.
On gère pas le positionnement, l'évolution et la formation des troupes au niveau du bataillon hein...
(Ca serait bien fun, mais surement un cauchemard pour le mj et les parties n'en finiraient pas )

D'ailleurs, perso je me sens plus à l'aise à l'échelon tactique que stratégique, il y a beaucoup moins d'incertitudes et les solutions à un problème donné sont plus réduites et évidentes. Enfin, de mon point de vue.
La difficulté, si difficulté il y a, c'est d'engager juste ce qu'il faut de force à chaque fois pour ne pas épuiser toute l'armée ou se retrouver sans réserve et le pantalon baissé en cas de revers. Et surtout, de conserver en tête le but stratégique de l'affrontement (et ce qui peut éventuellement suivre dans les jours/heures qui viennent) pour savoir comment gérer ses forces au mieux et jusqu'à quel niveau d'engagement aller.

Oli le Belge a écrit:

On est pas obligé de foutre toutes les responsabilités du planning sur JP...[enfin, on peut l'attendre, peut-être aime-t-il faire ça...].
Certes, il veut faire Napoléon, mais ce n'est pas bien de juste lui refiler la tâche d'un Berthier...

Je ne pense pas qu'il soit question de lui refiler la patate chaude du planning stratégique, mais de décider de qui va être qui en présence de tout le monde.

(Et que le chef désigné tranche parmi tous les plans et les propositions qui vont encore fuser d'ici le début de la partie )

Edit

D'ailleurs, moi mon avis pour ce qu'il vaut...
Je n'ai été rappelé que pour mes talents de cavalier, je viens de perdre mon royaume et l'Italie hein

Polak a écrit:

Alain-James a écrit:

Par contre, je précise, autant je me sens à l'aise au niveau stratégique, autant au niveau tactique dans tous les jeux vous avez vu que ça péchait pas mal. A vous de voir si vous voulez vraiment de moi en rougeaud, je sais pas si c'est l'idée du siècle hein.

J'ai encore en souvenir le fameux "Bouge Patate !!"

C'était affectueux... on ne le dit pas assez...

Oui on a besoin que quelqu'un soit investi "officiellement" pour que ça tranche, ça me semble logique. De la même façon, sans vouloir tomber dans un travers berthieriste, ce serait quand même pas mal qu'on puisse compter sur la familiarisation à court terme de l'Empereur avec le plan hein dites ^^
Si JP a des chances de le devenir, faut qu'il vienne participer pour se mettre au jus, notre héros!

Bon, c'est bien parcequ'on me le demande. Mais comme vous pouvez voir quand je fais une carte, c'est très artisanal (et sous paint...).
Il faudrait que j'apprenne à me servir de calque (et d'un logiciel de dessin tout simplement mdr)

Voici ce que je proposais dans mes posts.



Légende :


Corps Principal, armée de Paris :
-S'avance de Meaux vers Château-Thierry, puis Epernay. C'est très conditionnel, il est quasi-sur qu'ils rencontreront des Bavarois en chemin et il n'est pas sur qu'ils soient capable de les affronter, leur avancée réelle risque donc d'être bcp moins longue.

Corps indeterminé de l'armée du nord :
-Je le voudrais assez costaud, car son mouvement le met dans une situation stratégique très intéressante, il peut soit se porter au secours de l'armée de Paris et prendre les bavarois à revers, soit, s'il n'y a pas de pb de ce coté là, se porter sur Châlons par la rive sud (et/ou nord) de la Marne, tout en coupant les communications vers Troyes et Meaux.
Il peut également se porter sur Troyes d'Epernay s'il n'y a personne ou que les autres corps n'ont pas besoin de lui.

Corps indeterminé de l'armée du nord :
-Force principale pouvant marcher sur Chalons, ou suivre le premier corps vers Epernay si la masse des bavarois est plus en avant sur Paris. En cas d'attaque son trajet est court, il peut donc rester en semi-reserve un jour ou deux en attendant de voir ou sont les coalisés.

Corps indeterminé de l'armée du nord :
-Force secondaire devant surtout éclairer notre flanc-Est et bloquer ce qui peut en venir. Une partie de cette force devrait se diriger vers la rivière Suippe (?) pour en bloquer les passages, voir même se diriger sur Verdun plus à l'est pour suivre et fixer les mouvements russes venant de là. Une partie de ce corps, probablement de la cavalerie et un petit peu d'infanterie devra se rabattre sur Chalons si les Bavarois y sont pour parfaire l'encerclement de la ville, bloquer une fuite par l'Est et couper les communications.

-Une fois Chalons prise (si les bavarois y sont force), on redescend sur Troyes.
-Si les Bavarois sont plus vers Paris ou plus au sud, on se dirige vers là ou ils sont en priorité quitte à contre marcher mais on occupe tout de même Chalons et on coupe l'axe de communication vers Troyes. De préférence avec la force de diversion (bleue)

Qu'en pensez vous ? (j'ai pas d'estimation de date, on reste dans le conditionnel, je ne suis qu'un subalterne, j'attend de voir si ça vous plait ou si vous pensez à autre chose).

Edit Pour AJ coincé derrière le grand firewall de chine.



La taille est réduite, c'est donc moins lisible.

JP a prévenu qu'il venait le soir.

Gros Edit.

Bien sur, il y a peut être (surement même) des bavarois à Reims...
Depuis le début je suis pars du principe que c'est chez nous.

Mais la première étape du plan et donc de concentrer l'armée du nord dans Reims et ses environs tout en envoyant du monde faire l'appat vers Sens dans le sud.
Pour la zone Rethel-Sedan, je ne suis pas sur qu'il faille y laisser du monde.
Le seul intérêt de cette zone serait de frapper l'armée russe d'entrée de jeu en passant par là. Mais je ne la sens pas trop cette option.

Tu pourrais le poster depuis un autre espace? La Chine ne veut pas que je le vois, ton plan...

SP a écrit:

JP a prévenu qu'il venait le soir.

J'ai eu un tour Witp dans ma boite vers 13h tout à l'heure, c'est pour ça ^^

Alain-James a écrit:

Tu pourrais le poster depuis un autre espace? La Chine ne veut pas que je le vois, ton plan...

Héhé, je ne sais pas...
Tu as un site d'hébergement qui passe par chez toi en tête ?
Sinon je vais voir ce que je peux faire.

Ya Photobucket qui est très bien, si tes cartes font moins de 1024x768

Laisse tomber c'est bon j'ai trouvé un proxy fonctionnel (pour ce soir )

Je continue à considérer un assaut paralysant sur l'aile gauche bavaroise. Aussi rapide sommes-nous au nord, on perdra du temps à battre un autre jour l'aile gauche au lieu de tout faire dans le même temps (et éviter qui plus est qu'elle vienne renforcer l'aile droite) non?