QG du Général Lecourbe

"Ordres" pour 18h" a écrit:

Ménard reste sur la défensive

Dessoles engage une des brigades combattant Ménard par le flanc

Loison commandé par Lecourbe continue son attaque sur la gauche enenmie

Avec le délai de transmission des ordres, j'imagines que ça ne sera exécuté qu'après le tour ou la visibilité fera cesser les combats.

Edit

Hahaha ce message de Masséna...

J'aurais pu le faire, en anticipant hier soir, mais avec une division déjà devant l'ennemi...

C'est vraiment sur mes mouvements hier que j'ai merdé.

Tu l'as peut-être raté, mais j'ai aussi rajouté un message de Mosséna.

edit : ah non.

Ce qui est bien, vu qu'il ne me donne pas l'heure à laquelle il envoie le message, c'est que je ne sais même pas combien de temps il a mis pour me parvenir.

Il a du me l'envoyer dans la nuit, ou ce matin.

L'estafette confirme que le message est parti ce matin.

Oui c'est ça, une dizaine d'heure.

Même si j'aurais pu être plus prudent et reculer tranquillement ce matin (ignorant ses consignes très stricte du briefing), son message ne me serait jamais parvenu à temps pour modifier mes plans pour la journée de toute façon.

Il est quand même très optimiste le Mos.

Message pour le citoyen général Masséna a écrit:

Le 14 floréal an VII vers six heures du soir au Steig.

Quatrième message.

Citoyen,

Je viens de recevoir tes consignes pour aujourd'hui !
Il est malheureusement un peu tard pour les appliquer.

Je suis en train de rompre la colonne autrichienne qui me fait face et j'espère que cela sera terminé d'ici la nuit.

En revanche, même si je suis victorieux, la route pour communiquer avec toi et te rejoindre me sera coupé, elle l'est peut être déjà par des reconnaissances ennemies.

Ma priorité pour l'heure et d'assurer mon ravitaillement par Coire via Mayenfelt puisque l'axe par Sargans est coupé et que la deuxième colonne ennemie marche peut être avec Mayenfelt pour objectif.

Il s'agit donc là de mon dernier message avant un moment, les messages par d'autres chemins risquent de mettre un temps fou à te parvenir. Ma priorité est à présent de te rejoindre, même si cela risque de prendre du temps et j'ai peur que ma victoire ne fasse que retarder la colonne ennemie que je viens d'affronter de quelques jours seulement ne pouvant pas la poursuivre.

Vive la république !

Sinon, j'ai en tête un plan alternatif qui consisterait à marcher sur Feldkirch à la suite de la colonne que je suis en train de combattre (si je gagne) pour couper le ravitaillement de la deuxième colonne.

La garnison de Feldkirch peut-elle détruire le pont de bateau ? L'ennemi en retraite en aurait-il la possibilité avant que j'arrive ?
Combien de temps cela prendrait pour le reconstruire ?

Un pont de bateau peut être détruit sur ordre par une garnison. Comme ce n'est pas une construction permanente, il faudrait le reconstruire à partir de zéro.

J'aurais besoin de combien d'hommes au minimum pour le détruire ?

Franchement il vaudrait mieux une division entière, car en l'absence de génie dans tes unités, elles auront besoin d'artillerie.


Vers 19h

Ménard a complètement décroché. Il espère pouvoir se maintenir en ordre mais ne peut plus raisonnablement participer au combat.
Dessoles a refoulé ce qui semble être un ultime effort de l'infanterie autrichienne, qui est en train de refluer en désordre vers le village de Balzers. Loison a rejeté la gauche autrichienne sur la route de Vaduz, tandis que leurs dragons décrochent à leur tour.

L'ennemi semble en train de se retirer en ordre. La visibilité est désormais totalement bouchée.

La colonne ennemie repérée plus tôt semble en cours de regroupement dans le secteur de Sargans.

Ordres pour le combat a écrit:

Ménard se désengage et se prépare à se replier vers Mayenfelt.

Dessoles maintient son attaque.

Loison également.

Ordres généraux a écrit:

Ménard doit se replier sur Mayenfelt et occuper la ville défensivement.

Dessoles doit rester au combat jusqu'à ce que la déroute de l'ennemie soit confirmée.
Il se repliera ensuite en direction de Mayenfelt.

Loison doit poursuivre l'ennemi une fois celui-ci en déroute avec la cavalerie de Ménard en soutien, puis marcher jusqu'au pont de bateau et le détruire dans la journée de demain. Il doit ensuite se replier vers Mayenfelt au plus vite. Qu'il ne ménage pas ses hommes, il doit faire au plus vite.

Le général Lecourbe une fois l'engagement au Steig terminé rejoindra la division Ménard à Mayenfelt

Ces ordres s'appliquent en cas de déroute, il faut poursuivre l'attaque le plus longtemps possible pour parvenir à obtenir cette déroute plutôt qu'un simple repli adverse, sinon Loison s'exposerait à un second round demain à 1 contre 2.

Edit

Le fait que l'ennemi se regroupe à Sargans me rassure, j'aurais sûrement le temps de revenir à Mayenfelt.

Il y a un coup génial à faire si l'ennemi ne détruit pas le pont de lui même à mon approche (ce que je pense qu'il fera), mais il n'y rien d'urgent, je pourrais toujours modifier les ordres de Loison demain.

Déjà concluons cette bataille, je l'espère sur une déroute ennemie.

Sur ce, je vais y aller et je te dis à demain IRL !

Par l'itinéraire le plus sûr, tant pis si ça doit passer par Lucerne.

Message au citoyen général Masséna a écrit:

Du Steig vers sept heures du soir le 14 floréal an VII.

Cinquième message.

Citoyen,

Je me permet par le biais de cette missive de te réclamer plus d'information sur l'ennemi dans tes futurs messages.

Loin de moi l'idée me prendre pour le général en chef commandant ce secteur, mais savoir ou sont situées les formations ennemies repérées et leur destination me semble être la moindre des choses pour m'éviter de désagréables surprises si je devais improviser pour faire face à l'urgence.

Tu me dis, "l'ennemi se décale de lui même", vers où ? Pourquoi ? Avec combien d'hommes ?
Qu'as tu repéré vers Constance et Saint-Gaal, mes dernières recos dans cette direction datent d'hier, dois-je craindre de nouvelles colonnes arrivant par cette direction ?

Tu me dis "il est lent", certes, mais avec plus de 10 heures de décalage dans nos messages, il peut se déplacer très vite dans cet intervalle.

Au plaisir d'avoir des nouvelles de ta plume.

Vive la réplublique !

Parce que bon, les messages cryptique ça va aller deux secondes aussi.

Allez sur ce, j'y vais vraiment !

A+

Vers 21h, à la tombée de la nuit

Loison et Dessoles ont accroché comme ils ont pu les forces ennemies en retraite et, tout en leur infligeant de lourdes pertes, n'ont pu parachever leur retraite en déroute. La colonne adverse se replie lentement vers Vaduz alors que la nuit tombe. Un nombre important de prisonniers commence à être rassemblé par les forces de Dessoles. Le village de Balzers est occupé.

Ménard se retire vers Mayenfeld, alors même que des cavaliers ennemis semblent en train de tenter un coup de main sur le pont. Il demande des renforts de toute urgence, ses hommes n'étant clairement pas en état de mener la moindre action.

Scrogneugneu.

Je peux avoir un premier rapport de l'engagement et de l'état des troupes avant d'aviser définitivement ?


Sinon déjà Dessoles peut commencer son repli vers Mayenfeld (en détachant ce qu'il faut pour les prisonniers).

Je rejoins Ménard.

Et pour Loison, dans un premier temps il continue sa poursuite (avec la cavalerie de Ménard si c'est possible).

Mais je vais réfléchir à ce que je vais ordonner de faire demain avant de valider mes ordres pour le 3.

Ménard est dans un état de désorganisation tel qu'aucun combat n'est envisageable avant un jour ou deux.
Pour Dessoles et Loison, état satisfaisant compte tenu du combat.
Loison pense pouvoir coller au train de l'ennemi et prendre Vaduz durant la nuit, mais n'ira sûrement pas beaucoup plus loin.

Les pertes globales doivent s'évaluer à 2000 hommes environ, la moitié dans la division Ménard. Pas mal de blessés légers qui devraient revenir très vite dans les unités. Le décompte des morts n'est pas encore terminé. Pertes ennemies difficiles à évaluer pour le moment, mais probablement très supérieures.

La cavalerie de Ménard, qui a participé au décrochage de sa division (et qui en terme de jeu partage le même moral que son unité "mère") n'est clairement pas en mesure de participer à la poursuite.

Ok.

Loison pousse le plus loin possible (pour ramasser le plus d'ennemis possible), Vaduz fera l'affaire.

L'état de la division de Ménard rend impossible la défense de Mayenfeld demain autrement qu'en bluffant. Dessoles devra s'y coller.

Je pense que je ne peux pas trop éloigner Loison, car si la deuxième colonne attaque demain il ne sera pas de trop pour aider à les repousser.

C'est frustrant car une poursuite renouvelée et la menace sur le pont de bateau serait un excellent moyen de faire rebrousser chemin à la deuxième colonne.

D'un autre côté, s'ils pensent pouvoir prendre Mayenfeld de force, c'est un plus sûr moyen d'assurer son ravitaillement que de rebrousser chemin...

Idéalement je devrais me dégager demain (et donc plutôt faire revenir Loison dès ce soir), mais vu l'état de la div de Ménard et ma faiblesse en cavalerie, j'ai pas envie de me faire raccompagner jusqu'à Coire.

J'espère plutôt que l'ennemi n'essayera pas de s'y frotter. (En vrai, je ne pense pas qu'ils tenteraient quoi que ce soit, mais un joueur peut faire le pari que mes hommes sont trop fatigués pour résister).

Dessoles pourrait-il essayer de mettre Mayenfeld en défense pendant la nuit ?

En revenant très très vite, peut-être. Mais sa division étant en activité depuis ce matin, ça va être difficile de leur en demander encore plus...

Toujours pendant la nuit du 2 au 3 mai

Ménard signale que la cavalerie autrichienne s'est emparée sans coup férir du pont de Mayenfeld. En d'autres circonstances, il ne doute pas qu'il pourrait aisément en reprendre le contrôle, mais en ce moment il n'est sûr de rien, surtout si la colonne ennemie devait suivre derrière - même si rien ne semble le confirmer.

Pourras tu attendre avant de faire avancer de mon côté ? J'hésites terriblement sur la conduite à tenir.

L'état de la division Ménard me met dans une situation difficile et je ne sais pas quoi faire de Loison du coup, alors que l'envoyer contre le pont de bateau et au cul de la colonne battue hier (pour l'empêcher de se reformer dans la journée) est quand même le plus intéressant stratégiquement parlant, mais très risqué compte tenu du nombre de troupes sur lesquelles je peux m'appuyer à Mayenfeld.

Quelles sont les chances de Dessoles de tenir le pont seul face à la colonne autrichienne demain ? (S'il repousse les cavaliers)

De mon point de vue, à 1 contre 3 mais derriere un pont, c'est envisageable. Maintenant, vu son état de fatigue, je suis moins sûr. Sans compter l'incertitude du gameplay...

Pour le public, (s'il y en a un et qu'il ne s'agit pas de ceux d'en face ! ).

Mos a ignoré mes avertissements concernant les risques dans ce secteur, risques qu'il y ait plus de 10 000 hommes, risques liés au peu de chemins disponibles etc.

Maintenant, à 30 000 contre 20 000, je suis désavantagé, mais historiquement parlant, il n'y a rien de dramatique et j'aurais pu envisager une bataille dans ce rapport de force si j'avais été forcé à le faire.

Bien sûr il n'y a pas grand avantage à cela et me replier comme le demande Mos est plus intelligent.

Surtout que je ne sais toujours pas où et quand l'armée du Tyrol va intervenir (ou si elle est partie pour l'Italie).

Mais ce que Mos n'a pas vu en changeant ses plans immédiatement et en me demandant de me replier séance tenante. C'est le risque que j'ai pris sciemment hier (j'aime prendre des risques   ), c'est que si j'ai quelques chances à 30 000 contre 20 000, en prenant les deux colonne séparément comme l'ennemi m'a donné l'occasion de le faire hier, je rééquilibre drastiquement le combat.

Et du coup l'intérêt stratégique d'avoir engagé le combat hier est d'avoir mis hors de combat la moitié des ennemis qui me font face.

Le bémol, c'est que ce faisant, j'ai mis hors de combat ma plus grosse division et je ne comptais pas qu'elle prendrait aussi cher, tout en sachant que l'ennemi a pu se replier en bon ordre.  

En toute logique, même si la cavalerie ennemie a réussit un coup de main important en prenant le contrôle du pont. L'ennemi devrait réfléchir à deux fois avant de m'attaquer.

J'ai à peu près 11 000/12 000 hommes face à ses 15 000/17 000, dans une ville et derrière un pont.

Il a peu de chance de gagner rapidement, surtout en prenant en compte la branlée que s'est prise l'autre colonne hier.

C'est là où envoyer Loison au cul de l'autre colonne est important. Lui éviter de pouvoir se reformer au cours de la journée, menacer le pont de bateau (et le ravitaillement de la deuxième colonne), obliger l'ennemi soit à le détruire, soit à me permettre de le faire moi même et éventuellement de le faire tout en me redéployant sur la rive gauche du Rhin dans le dos de sa deuxième colonne.

Ce qui fait que même si je dois reculer à Mayenfeld dans la journée et que du coup l'ennemi récupère son ravitaillement, si je peux passer le pont, je sauve Loison qui peut rejoindre Mos et mes autres divisions peuvent essayer de reculer sur Coire.
Si je ne peux pas passer le pont. L'ennemi tien Mayenfeld, mais je peux l'attaquer à nouveau le lendemain avec Loison d'un côté et mes autres divisions de l'autre (sauf s'ils partent en déroute dans la journée évidemment).

Alors que si je fais revenir Loison immédiatement, le bénéfice c'est qu'il va pouvoir contribuer à la défense de Mayenfeld, mais je ne sais pas s'il sera suffisant ou s'il sera là à temps. Dans le meilleur des cas on revient au cas de figure précédant, l'ennemi tient Mayenfeld et moi je peux essayer de l'attaquer de deux côtés à la fois si mes forces ne sont pas en déroute. Avec le risque supplémentaire que la première colonne ennemie qui pourrait se reformer dans la journée, soit dans mon cul le lendemain.

Mais même si je remporte la bataille (ce qui est discutable), je suis dans une position difficile et je dois me replier par un chemin long et tortueux contre un ennemi disposant de bien plus de cavaliers que moi.

Idéalement, il faudrait que l'ennemi se replie vers son pont.

Ce qui serait sans doute ce qu'il choisirait de faire IRL, ou tout du moins continuer de tenir Sargans pour me couper de Mos, ce qui devait être son plan initial. Mais pas nécessairement attaquer.

Maintenant, j'ai affaire à un joueur humain, peut-être le même aux commande des deux colonnes et il va sans doute vouloir se venger du petit revers d'hier et il peut faire le calcul que mes colonnes ont souffert et que donc il pourrait avoir l'avantage et donc prendre le risque comme moi je l'ai fait.

Bref, je ne sais pas quoi ordonner du tout.

Keyser Pacha a écrit:

Quelles sont les chances de Dessoles de tenir le pont seul face à la colonne autrichienne demain ? (S'il repousse les cavaliers)

De mon point de vue, à 1 contre 3 mais derriere un pont, c'est envisageable. Maintenant, vu son état de fatigue, je suis moins sûr. Sans compter l'incertitude du gameplay...

Déjà, il n'y aura pas d'attaque cette nuit, pour sûr. Compte tenu de son activité depuis la veille, Dessoles peut se mettre en position d'attaque en début de matinée.
Pour la mise en défense de Mayenfeld, le timing risque d'être un peu "short".

Si le Rhin est sécurisé et la cavalerie autrichienne rejetée de l'autre côté du pont, la position sera très bonne, même si dans l'idéal il aurait fallu un peu de temps supplémentaire, mais bon, les cas d'école sont l'exception en situation...