QG du prince de HOHENLOHE, commandant l'AG prussienne

On sent aussi le MJ qui ne veut pas se prendre la tête

Mais bien sûr, je viens de passer une heure pour comptabiliser au mort près les victimes de la bataille de S......, mais à part ça je veux pas me faire chier.

Si tu veux faire un siège de 1670 en 1792, be my guest hein.

SP a écrit:

Mais bien sûr, je viens de passer une heure pour comptabiliser au mort près les victimes de la bataille de S......, mais à part ça je veux pas me faire chier.

Si tu veux faire un siège de 1670 en 1792, be my guest hein.

Que tu es susceptible ! ^^


(puis Keyan, dans le HH:MM a vendu la mèche au sujet de la bataille de Stenay)

Je me disais simplement que commencer à creuser des tranchées allait faire chuter le moral de l'adversaire... (et que le faire faire par des paysans Français serait déjà ça de fatigue en moins pour mes gugusses).



Et en Espagne, les Français ont bien du sortir la pelle et la pioche face à certaines villes et citadelles...

C'est vrai, mais le contexte était tout de même complètement différent. Les villes espagnoles étaient tenues par des garnisons de plusieurs milliers d'hommes, et au Portugal ou en Galice, la marine anglaise ravitaillait les garnisons. Là...

Après, je ne te dissuade pas plus, je dis juste que le rassemblement de 500 travailleurs forcés, c'est 3 jours dans ce secteur.

Dans la nuit du 23 au 24 août

Le bombardement de Longwy s'est poursuivi avec méthode, visant davantage l'impact moral. Les incendies égayent leur nuit.

Surtout, quelques reco de Montmédy, accompagnés de cavaliers autrichiens, sont revenus au camp avec des nouvelles - le comte de Clerfayt ayant préféré évité un message écrit susceptible de tomber aux mains des Français.

Apparemment, les Autrichiens ont mené bataille à Stenay contre des forces françaises supérieures. Bien que finalement victorieuse, l'infanterie autrichienne est désormais coincée sur la route entre Stenay et Montmédy. Toute sa cavalerie a été détruite, ainsi qu'apparemment le corps des émigrés, coincé dans le secteur de Margut.

La colonne est de plus en manque de ravitaillement. Clerfayt va tenter de pousser vers Virton demain, mais les chances d'un encerclement complet sont grandes...



Les reco du sud signalent quant à elles que Longuyon a été occupé par une petite unité de cavalerie française, venant probablement du sud.

Schmettau est envoyé vers Virton à l'aube. Il doit aider Clerfayt, si possible (en arrivant dans le dos des cavaliers français).

Si Clerfayt n'est pas là et en cas de rencontre avec des forces françaises bien plus nombreuse, il décroche bien entendu (et revient vers nous).


Message à Brunswick

Hohenlohe, Longwy, nuit du 23 au 24 aout

Clerfayt, avec un violent engagement avec les Français recule sur Virton, des cavaliers français se dirigent vers lui à partir de Longwy.
J'envoie Schmettau (mes cavaliers) pour tenter de l'aider.

Autour de Longwy, vers 8h

Schmettau s'est mis en route à l'aube.
Nos reconnaissances dans le secteur de Montmédy, outre le fait qu'elles ont beaucoup de difficultés à reconnaître le secteur, confirment que tout annonce une opération importante dans cette zone.

Les cavaliers français repérés à Longuyon étaient, du moins à l'aube, en train de se préparer à bouger, sans qu'il était encore possible de deviner la direction prise.

Aucune réponse de la garnison ou des autorités civiles de Longwy, hors quelques coups de canon à l'aube - ce qui, après tout, est une réponse qui en vaut une autre.
Des incendies se sont de toute évidence déclenchés dans la ville.

Lattum signale qu'il est entré en contact avec la colonne Brunswick, qui a quitté Wolflingen ce matin et serait en route pour Arlon.

Autour de Longwy, vers 15h

Quelques cavaliers français ont été repérés venant a priori de Montmédy, se contentant d'inspecter de loin nos opérations, faisant probablement une estimation de nos forces.
Nos propres patrouilles dans le secteur de Montmédy sont toutes rentrées, apparemment un engagement serait en train de se disputer dans cette zone, mais il a été impossible d'en savoir plus de par la densité de la présence française.

Schmettau est arrivé à Virton il y a quelques heures. Il signale y avoir croisé de nombreux fuyards du corps des émigrés et de la cavalerie de Clerfayt. Apparemment un engagement aurait eu lieu dans le secteur de Margut hier, où l'unité des émigrés aurait été assaillie par au moins 30000 Français venant de Montmédy et de Sedan. La déroute a été totale, et le contact n'a pu être établi avec le comte de Clerfayt qui se dirigeait vers Stenay.
Le duc de Broglie, commandant de l'unité des émigrés, serait sauf.

Pour le reste, Longwy résiste toujours...
Les cavaliers d'Ehben, arrivés il y a quelques heures, se sont établis au sud de la ville.

Quel est l'état de la forteresse ? Je veux une inspection par les officiers... est-ce qu'il y a un point faible par lequel on pourrait tenter un assaut sur la ville (si on concentre le feu de l'artillerie sur un point avant l'assaut, il faudrait pouvoir priver l'adversaire de ses canons).

Un assaut de nuit, à la lueur des incendies, ça pourrait aussi être bien (certes, il y a sûrement des malus, mais l'adversaire est peut-être tellement faible que le jeu en vaut la chandelle...).

La forteresse n'est clairement pas entretenue comme elle le devrait et si, comme on peut le penser, les ressources et le moral de la garnison ne sont pas très bons, un coup de force pourrait suffire à emporter la décision.
Cependant l'assaut va nécessiter au moins 12h de préparatifs avant d'être lancé.

On lance les préparatifs alors...

Ok.

Je préciserai les heures au besoin plus tard, mais en gros les nouvelles de l'après-midi :

- le contact a été établi avec des patrouilles autrichiennes. Apparemment la colonne de Kirchberg approche d'Ametz/Aumetz.
- au nord, la colonne de Brunswick devrait être à Arlon ce soir.
- à Virton, Schmettau signale des patrouilles françaises. Pas d'unité ennemie dans le secteur cependant.


Je te fais une carte dans la journée.

Alors voilà :

Ordres:

- Ehben se déplace vers Viviers (sur Chiers) qui se situe à environ 11km de Longwy... de là, il précise de quoi se compose le rassemblement Français à Longuyon.
Il mène également une reco à Pierre-Pont (au sud est de Longuyon).

- Schmettau tente de savoir où se situe Clerfayt (il doit être du côté de Stenay mais bien sur les forces à Montmédy nous séparent...
Il faut tenter d'envoyer des patrouilles par le sud (Thonne, Sygny, Nepvan).



Message à Brunswick et Kirchberg:

De Hohenlohe à Longwy

Clerfayt a été pris au piège à Stenay, les Français se regroupent à Montmédy et on constate une présence à Longuyon.
Schmettau est à Virton pour tenter d'entrer en contact avec Clerfayt tandis que je pousse Ehben vers Longuyon.
Je me prépare à l'assaut de Longwy.

Mon conseil: Brunswick marche sur Virton. Kirchberg me rejoint et nous marchons ensuite vers Longuyon.

(Si nous nous regroupons tous à Longwy, notre énorme colonne perdra beaucoup de temps).

Vers 18h

Ehben estime pouvoir atteindre Villers d'ici 20h, même s'il maudit la pluie battante.
Les derniers rapports semblent indiquer que Longuyon a été abandonné, cependant quelques cavaliers aventurés ont laissé entendre qu'il y aurait du mouvement dans le secteur de Montmédy.

Schmettau signale qu'en début d'après-midi la situation à Virton était pour le moins confuse avec des nouvelles pour le moins contradictoires issues des fuyards émigrés et autrichiens qu'il a pu croiser, les uns parlant d'un désastre près de Carignan, les autres d'une victoire près de Stenay. Ordre reçu pour les reconnaissances.

Citation :

MESSAGE DU DUC DE BRUNSWICK

Nous serons demain soir à Martelange, fatigue et désorganisation se font jour parmi notre colonne, je crains que nous devions laisser un jour de pause à nos troupes d'ici peu.

Citation :

Vers 19h
MESSAGE DU PRINCE DE KIRCHBERG

Deuxième message.

Ametz (Aumetz), vingt quatre août 1792 vers 17h.

Général,

Ma colonne est en train de se regrouper autour de la bourgade d'Ametz. Quant aux Hessois ils sont à Thionville et partiront pour Longwy demain.
Mes reconnaissances ont détecté à Briey, au sud de ma position actuelle, ce qui semble être une division française au complet (environ 10 000 hommes). Elles ont également détecté des traces de troupes françaises aux alentours de Longuyon, mais leur nombre semble être bien moindre.
Il nous faut décider quelles actions entreprendre contre la force présente. Nous avons à mon avis deux possibilités.
En premier vous pouvez continuer le siège de Longwy avec les unités sous votre commandement tandis que j'irais avec ma colonne et les Hessois vers Briey en passant par la route de Morfontaine pour détruire la force française.
La deuxième possibilité serait d'ignorer pour l'instant la force française et d'achever le regroupement de toutes nos forces autour de Longwy comme prévus. Puis ensuite, en prenant en compte les informations en provenance du général Cleyrfat ainsi que les mouvements français autour de nous, de décider d'un plan d'action.


Prince de Hohenlohe-Kirchberg.

Message à Brunswick et Kirchberg:

Hohenlohe, Longwy 18h.

Ehben va atteindre Villers sur Chiers vers 20h.
Les derniers rapports semblent indiquer que les Français ont abandonné Longuyon. Cependant quelques cavaliers aventurés ont laissé entendre qu'il y aurait du mouvement dans le secteur de Montmédy.
Il y a une énorme concentration ennemie là-bas...  c'est elle qui a affronté Clerfayt et qui semble avoir détruit la colonne autrichienne.

Schmettau que j'ai envoyé à Arlon pour tenter de joindre Clerfayt signale qu'en début d'après-midi la situation à Virton était pour le moins confuse avec des nouvelles pour le moins contradictoires issues des fuyards émigrés et autrichiens qu'il a pu croiser, les uns parlant d'un désastre près de Carignan, les autres d'une victoire près de Stenay.

J'essaie d'en savoir plus en envoyant des patrouilles jusqu'à Stenay à partir de Virton.

L'armée française est entre Stenay et Montmédy (avec une grosse concentration à Montmédy...je me répète).
Je viens de recevoir le message de Kirchberg qui m'informe de la présence de 10.000 français à Briey.
Je pense qu'il faut les laisser là pour le moment (envoyer de la cavalerie ?).

Je pense pouvoir prendre Longwy dans les heures qui viennent.

Selon moi, il faut saisir l'ennemi à Montmédy (j'espère en savoir plus en parvenant à joindre Clerfayt...ou ce qu'il reste).

Concernant le siège... on peut attaquer de nuit* ? [les préparatifs sont-ils en bonne voie ?].




*je suppose qu'il y a malus, mais j'ai du mal à estimer ce malus

De toute façon, si assaut nocturne il devait y avoir, ce ne serait pas cette nuit mais la nuit prochaine... (12h de préparatifs...)

Disons surtout qu'un assaut nocturne a plus de chances d'être annulé - les assauts sont en effet ajournés selon diverses situations, essentiellement si les pertes initiales sont lourdes, ou en tout cas largement au désavantage de l'assaillant (et la première heure d'assaut voit l'attaquant avoir de nombreux malus).
L'attaque nocturne a cependant pour principal avantage de limiter les pertes des deux côtés, ce qui n'est pas un mal.

Pendant ce temps, l'artillerie continue à tirer sur la ville ??

Ah oui bien sûr.

Il y a toujours possibilité que la ville capitule toute seule (comme apparemment Thionville l'a fait).

Dans la soirée du 24 août.

Une colonne de cavalerie française a été repérée sur la route de Montmédy et de Longuyon, se dirigeant de toute évidence vers cette ville qu'elle devrait atteindre avant la nuit.

Le gros de l'ennemi semble demeurer dans le secteur de Montmédy.

Schmettau signale qu'avec l'arrivée de nouveaux fuyards appartenant aux dragons de Cobourg ou à la colonne de Clerfayt, tout indique que cette dernière a connu un sort funeste face à des troupes françaises très supérieures en nombre, après deux jours de bataille...

Message à Kirchberg et Brunswick.

Des fuyards de la colonne de Clerfayt arrivent à Virton... après deux jours de bataille, cette dernière a été détruite... J'essaie de savoir ce qu'il est advenu de Clerfayt lui-même.

Les Français se rassemblent à Montmédy et à Longuyon. J'attends vos renforts ou vos messages...


Message à Schmettau:

Il continue à observer le rassemblement à Montmédy et il envoie quelques hommes à la recherche de Clerfayt...
En cas de mouvement Français vers lui ou vers Longwy, il revient rejoindre la colonne de l'avant garde prussienne.


Cavalerie attaché à l'infanterie:

On continue nos patrouilles sur Longuyon.

Vers minuit, dans la nuit du 24 au 25 août

Citation :

MESSAGE DU DUC DE BRUNSWICK

Nous serons à vos côtés demain, espérons que nous aurons de plus amples informations sur l'affrontement franco-autrichien.

Longwy, vers 9h du matin

Les travaux de préparation de l'assaut se sont poursuivis dans la nuit, sans grande difficulté du fait de l'absence de réaction de la garnison, qui a cependant tiré quelques boulets à l'aube pour signifier leur refus de capituler.

Ehben à Villers signale que les cavaliers français de Longuyon auraient commencé à manoeuvrer à l'aube, sans confirmation de leurs actions réelles.

Schmettau à Virton signale que les recoupements d'informations issus des fuyards croisés dans le secteur confirment la probable destruction de la colonne de Clerfayt. Le sort du comte n'a pas été élucidé. L'un des membres de l'état major de Clerfayt aurait été orienté pour nous rejoindre à Longwy, il devrait arriver dans l'après-midi.