QG du général BIANCHI (FFFootix)

- Division HARDECK, 3000 fantassins, 2000 cavaliers
Expérimentée, moral correct
Avant-garde autrichienne


On s'installe à Cuisery et on se repose pour la journée à venir avant de se trouver nez à nez avec les Corses.
A Cuisery, on se place en défense de notre côté de la rivière au cas où.

On envoie immédiatement une patrouille montée en direction de Bourg pour trouver Scheiter-Lederer. Si elle trouve des Français, retour arrière immédiat sans engagement.

On envoie 1h avant l'aube une patrouille à 2h de cheval sur la route de Pont de Vaux
On envoie à la même heure une petite escouade (120 cavaliers) sur Tournus (pour tenir le pont).

On envoie un coursier en direction de HH pour l'informer de nos dispositions.
Question pour lui : Je repose mes troupes à Cuisery ou je me regroupe avec Lederer (que je ne peux pas commander) à Montrevel ?

Dans la nuit du 17 au 18 février, Cuisery

La colonne Scheiter est bien dans le secteur de Montrevel avec la cavalerie de Lederer. Apparemment la cavalerie française a décroché à la tombée de la nuit mais demeure plus au sud de leurs positions dans la direction de Bourg-en-Bresse qui est vraisemblablement occupée par l'ennemi à l'heure qu'il est.

Des patrouilles ennemies ont été repérées non loin de Tournus, il est à craindre qu'elles n'aient repéré le déplacement de notre colonne.


Note : pour ton message vers Hesse-Hombourg, il va falloir que tu rédiges un minimum, je ne peux pas envoyer ça comme ça - et comme tu ne voudras pas me payer un salaire d'assistant parlementaire, je ne vais pas non plus le réécrire

Pour les messages, il y a un nombre de caractères limité ?

Non non, tu peux y aller sur trois pages si tu veux.

Message au chef:

FFFootix a écrit:

Chefounet,
Sommes bien arrivés à Cuisery.
Troupes exténuées, campons sur place.
Reposons les hommes pour la journée à venir en attendant que Lederer poursuivi fasse la liaison.
Nous positionnons en défense sur la rive Tournus de la rivière locale et bloquons le pont.

Envoyons CXX cavaliers tenir le pont de Tournus le temps de votre arrivée.

Confirmez ces dispositions ou marche vers Lederer ?

Toujours dans la nuit du 17 au 18 février

le Prince de HESSE-HOMBOURG a écrit:

Sevrey, 20h 17 février 1814
Courrier 3 au général von BIANCHI
Frédo,
La situation n'est pas des plus roses. La colonne Scheiter est en train de se rassembler à Montrevel et envisage de soutenir Lederer qui l'a couvert toute la journée. Il estime qu'une poursuite de grande ampleur de la part des français est à envisager.
De mon côté ce n'est pas mieux, je ne trouve pas trace des autres forces française si ce n'est des patrouilles françaises qui ont atteint le sud de Châlon. Je compte passer sur la rive gauche au niveau de Tournus et me rapprocher de vous. J'aurai bien fait sauter le pont de Tournus derrière moi afin de gêner toute colonne française présente sur la rive droite mais cela aurait condamné tous les trainards de ma propre colonne (presque le tiers de mon effectif...).
Quant à vous, il va falloir vous adapter à la situation je compte sur vous, éclairez-vous au maximum. Je vais demander à Schiester et Lederer de poursuivre en direction de Saint-Trivier voire Romenay.
S'ils sont accrochés avant d'arriver, voyez s'il est pertinent ou non de vous porter à leur secours selon les forces antagonistes présentes.
S'ils réussissent à décrocher, à vous de voir à quel endroit de la route il est le plus propice de se regrouper selon la situation topographique et les routes présentes (St Trivier?, Romenay? Derrière la petite rivière située entre les deux?).
Il ne s'agit que d'ordres généraux, vous êtes plus proche que moi de la zones chaudes, à vous de vous adapter. Je vous donne également délégation pour commander temporairement la colonne Scheister le temps que j'arrive sur zone.
FRIEDRICH von HESSEN-HOMBURG

Et toujours dans la nuit du 17 au 18...

(sûrement en réponse de ton message)

le Prince de HESSE-HOMBOURG a écrit:

Sevrey, dans la nuit du 17 au 18 février 1814
Courrier 4 au général von BIANCHI
Frédo,
je viens de recevoir votre message probablement envoyé en fin de journée (Indiquez l'heure afin de mieux remettre les messages dans leur contexte de rédaction). Afin de compléter (voire contredire) mes ordres précédents :
Nous venons d'apprendre que la cavalerie française a gardé contact avec Lederer jusqu'à la tombée de la nuit mais sans que ce dernier ne soit trop secoué. Le gros des Français semble stationner à Bourg en Bresse (A confirmer néanmoins). Avec un peu de chance ce manque de combativité de l'adversaire s'il se confirme nous permettrait de sauver la colonne Scheiter.
A vous donc de voir ce qui semble préférable selon les rapports que feront vos patrouilles dans la matinée : poursuivre pour épauler Scheiter et Lederer s'ils sont menacés (mais pour le moment cela ne semble pas être le cas exception faite de la cavalerie française) ou rester sur place à l'emplacement topographiquement le plus pertinent et attendre Scheiter et Lederer.
Par contre au regard de la fatigue et des conditions climatiques, j'ignore si Scheister pourra vous rejoindre d'un traite ou devra s’arrêter plus tôt dans le secteur de Romenay.
FRIEDRICH von HESSEN-HOMBURG

Je maintiens donc mes ordres.

Le 18 février vers 11h, Cuisery

Les unités de l'avant-garde se sont mises au repos avec un soulagement non feint. Pas mal de trainards sont en train d'être réorientés vers leurs unités.

Le général Scheiter signale s'être mis en route pour rallier Cuisery, mais craint de ne pas pouvoir atteindre l'objectif avant tard dans la soirée. Toute la cavalerie s'est placée en queue de colonne pour faire à nouveau écran, les chevau-légers français s'étant mis en route à l'aube pour, une fois de plus, talonner la colonne.
Scheiter ne cache pas une certaine inquiétude, moins quant à la poursuite que dans l'état dans lequel vont arriver ses unités.

Des nouvelles des hommes envoyés à Tournus ?

Rien à signaler pour le moment.

Le 18 février vers 20h, Cuisery


La division d'avant-garde a profité de cette journée pour se réorganiser. Environ 700 hommes manquent à l'appel, et près de 500 autres ont rejoint les hôpitaux. Hardeck estime qu'il aurait bien besoin d'un jour de repos en plus pour récupérer plus de traînards.

Le général Scheiter signale qu'il devrait atteindre Cuisery avant minuit. La marche a été terriblement éprouvante, et il espère pouvoir compter sur deux à trois jours de repos pour réorganiser sa colonne.
La cavalerie française a de nouveau décroché à la tombée de la nuit. Elle doit a priori être rassemblée dans le secteur de St-Trivier.

Dans le secteur de Tournus, la division Wied-Runckel a atteint la ville dans l'après-midi et s'est arrêtée à la tombée de la nuit à quelques kilomètres de Cuisery.
Comme vous êtes très proches l'un de l'autre, Hesse-Hombourg et toi pouvez vous rendre et écrire dans vos QG respectifs.

Carte: