QG du Comte de BUBNA (Keyser)

Message pour le Marquis de Sommariva a écrit:

En date du 21 février dans la soirée à Genève.

Monsieur le Marquis,

J'ai en face de moi menaçant Genève les forces du général Marchand, que j'estime à 3 divisions de 2 000 à 3 000 chaque.
Je pense être en mesure de défendre la place indéfiniment face à cette force seule, mais mes reconnaissances ont identifiées l'arrivée de l'armée d'Italie du général Eugène dont les avant-gardes seraient déjà à Chambéry.
Afin d'éviter de me faire enfermer dans la place par des forces supérieures en nombre ou de voir la route de Thonon coupée, je vais faire marche dans votre direction afin de faire jonction plus rapidement, je vous attendrais dans cette même ville.
Nous aviserons des plans pour la campagne à suivre une fois ensemble.

Bien à vous blahblah (politesse d'usage)


Bubna Von Litnitz.

Je ne suis (à tort peut-être) pas si inquiet que ça sur le risque de me faire intercepter, Thonon n'est pas loin et si une colonne de l'armée d'Italie devait essayer de me couper la route, je l'aurais déjà repérée, en outre, en quittant Genève, je la met automatiquement derrière moi.

La seule chose qui m'embête en fait, c'est qu'il n'y a qu'une seule route pour aller à Genève, si les français m'y attendent en force, je ne pourrais rien faire. Et s'ils me suivent, en force toujours, je ne pourrais que reculer...

La rive nord ouvre plus de routes vers la France et HH.

Et j'ai pas envie d'abandonner Genève... Mais j'ai pas trop le choix...

Et voilà, c'est maintenant que j'ai posté les ordres que je les sens plus... Et que j'hésite le plus...

J'entend une voix qui me dit "défend Genève, il y aura de l'action... Et fais passer Sommariva par le nord..."

Je ne sais pas si je te rends service en te disant que tu as encore un peu de temps pour te décider...

Donc pour le moment, confirmation pour Sommariva de prendre la route du sud, ok.

Genève étant une forteresse moyenne avec une force de garnison de 2000, les Français vont avoir besoin de 4000 hommes au moins pour l'assiéger, de 6000 hommes au moins pour la réduire par un assaut.
(oui oui, j'aime répondre aux questions qu'on ne me pose pas...)

Dans la nuit du 21 au 22 février

Les Français, après le bizarre mouvement repéré en début de journée, se sont regroupés derrière l'Usses et semblent vouloir y rester.

Nos patrouilles confirment qu'une unité de cavalerie a été repérée dans le secteur de Chambéry, très vraisemblablement l'avant-garde de l'armée d'Italie. Les tentatives de repérage sur la route de Turin se sont cependant heurtées à des patrouille françaises supérieures en nombre.

Sommariva accuse réception de votre message d'information. Il signale avoir déployé quelques patrouilles pour éviter une identification par les patrouilles françaises, apparemment aventureuses dans le secteur du Léman, après qu'il en ait accroché quelques unes lors du franchissement du Simplon.

Carte:

Est arrivée une missive du GQG de Schwarzenberg : l'armée aurait victorieusement repoussé Napoléon à Montereau le 18 et lui aurait infligé de lourdes pertes. En dépit de ce grand succès, le généralissime préfère replier l'ensemble de son armée et annonce évacuer Troyes. Comme ce repli pourrait être mal interprêté, il espère qu'il n'aura pas de mauvaises nouvelles à transmettre venant du sud. A bon entendeur...

Et j'oubliais :

le prince de HESSE-HOMBOURG a écrit:

Cuisery, midi, le 20 février 1814
Courrier 5 au Comte von BUBNA und LITTITZ
Comte,
la décision pour ce qui est de la première partie de cette campagne se fera demain car les Français sont en train de se rapprocher de nos positions. Il est dommage que les Hessois n'aient pas eu le temps de nous rejoindre pour nous soutenir car la bataille sera rude, les Français semblent en effet disposer de forces équivalentes même si nous devons avoir une légère supériorité numérique (Dans les 17 000 hommes contre 10 à 15 000 Français en espérant que ces estimations soient justes). De même nous avons un léger avantage installés que nous sommes derrière un cours d'eau traversé d'un seul pont même s'il y a des gués, en espérant que cet avantage soit suffisant.
Ils vont chercher à prendre le pont. Nous avons positionné nos troupes. Les tambours viennent du Sud. Nous ne pouvons plus éviter le combat. Une ombre s'avance dans le noir. Nous ne pouvons plus éviter le combat. Ils arrivent...
FRIEDRICH von HESSEN-HOMBURG

Le 22 février, vers 10h, un peu à l'est de Genève

La colonne s'est mise en marche dès l'aube sous les flocons de neige.

Notre arrière-garde signale que des patrouilles françaises ont observé notre mouvement à distance, avant que notre cavalerie légère puisse les disperser.

A priori, l'ennemi a gardé ses positions sur l'Usses.

Vu.

Pas de changements pour le moment.

Le 22 février, vers 18h, près de Cusy

Après une marche sous la neige, nos forces sont en cours de rassemblement dans le secteur de Cusy.
Les Français ont surveillé de loin notre mouvement, mais semblent être demeurés sur leurs positions sur l'Usses.

Sommariva envoie un rapport succinct. Il confirme qu'il devrait être à Thonon pour le 25 au soir avec son avant-garde, le reste de la colonne dans la journée du lendemain.

Pour changer, multiples accrochages de nos patrouilles avec leurs homologues françaises. Rumeurs et rapports semblent cependant confirmer que l'armée d'Italie doit être quelque part en Maurienne. Aucune autre unité que la cavalerie aperçue hier dans la zone de Chambéry n'a pu cependant être identifiée jusqu'à présent.

Carte:

Vu.

Je réagis demain ou tout à l'heure avant de me coucher.

Pas de réactions particulières en fait. Je maintiens les ordres d'hier tel quel, reco y compris. On finit le mouvement entamé et on s'arrête à Thonon.

Dans la nuit du 22 au 23 février vers 6h, près de Cusy

Les reconnaissances laissent entendre que les Français présents sur l'Usses se seraient mis en route durant la nuit dans la direction de Genève. Il est vraisemblable qu'ils auront atteint la ville dans le courant de la matinée.

Je suis sans doute trop prudent, mais les routes et le terrain laissent peu de marge à l'erreur quand on est plus lent.

J'aurais pu rester le plus longtemps possible pour défendre Genève, laisser le temps à Sommariva (et aux français) de se rapprocher.
Mais ça ne me plaît pas, il suffit que je mésestime l'endroit ou se trouve les avant-gardes françaises, ou que je ne repère pas un mouvement dans les vallées pour risquer gros à 2kmh.

J'espère pouvoir revenir beaucoup plus offensif une fois que Sommariva sera là, mais si l'armée d'Italie est aussi massive qu'annoncée, à moins d'un franc succès de mes camarades de l'autre côté, je serais toujours en position de faiblesse. Et je risque de nous faire perdre s'ils piétinent en direction de Lyon et si je perds Genève, voir le fort de l'écluse.

C'est pas évident comme situation.

J'aurais pu chercher la bataille dans les premiers jours, mais je n'étais pas convaincu de pouvoir obliger les français à combattre et j'avais peur que l'armée d'Italie ait des éléments beaucoup plus près de Chambéry que je ne l'aurais imaginé au vu du briefing.

Le 23 février vers 15h, près de Thonon


Le mouvement s'est réalisé sans trop de difficultés malgré la neige.

Les Français sont apparemment en train d'investir Genève. Leur nombre demeure cependant limité et il est vraisemblable que la place forte tienne si on en restait à de tels effectifs.

Les reconnaissances lointaines rapportent, en dépit d'accrochages toujours nombreux et ne permettant pas d'observation prolongée de la route Chambéry-Turin, qu'il est de plus en plus évident que le gros de l'armée française d'Italie est en approche de Chambéry, et devrait avoir atteint la ville ce soir ou demain.

Sommariva estime que si le temps devait s'améliorer, son avant-garde pourrait être à Thonon pour le 25.

le prince de HESSE-HOMBURG a écrit:

Tournus, dans la nuit du 21 au 22 février 1814
Courrier 6 au Comte von BUBNA und LITTITZ
Comte,
la bataille a été acharnée mais nous avons dû finalement reculer afin d'éviter la déroute de plusieurs de nos unités. Il est difficile de désigner un gagnant si ce n'est que les Français sont restés maîtres du terrain. Pour le moment les pertes sont inconnues mais seront probablement de l'ordre de 1500 à 3000 morts de notre côté. Nous avons pu retraiter jusqu'à Tournus et nous installer derrière la Saône, même si les troupes françaises nous ont mollement poursuivies, il parait peu probable, étant donné l'état dans lequel elles doivent être, qu'elles se risquent à forcer le passage, la Saône n'est pas le ru de la bataille de Cuisery. Nous allons essayer de reformer un semblant d'organisation à nos troupes tout en récupérant fuyards et blessés durant la semaine à venir.
FRIEDRICH von HESSEN-HOMBURG

Ah... (le manque ici tout de même)

J'espère que Sommariva pourra être là le 25.

Le 24, je me repose une journée complète.

La cavalerie un peu en avant de Thonon pour couper les recos ennemies.

Le 25, je repars vers Genève, seul, en sachant que Sommariva arrive (après, il se reposera peut être aussi, ça dépendra de son état) histoire de masquer l'arrivée de Sommariva le plus possible (ce qui me semble dur, mais au moins qu'ils n'identifient pas immédiatement l'ampleur de mes renforts) et j'essaye de dégager Genève.

Si ça tourne mal, je sais que j'ai les troupes d'Italie derrière moi.

Et si je suis incapable de mener bataille avec ces renforts contre l'armée d'Italie, alors de toute façon on aura perdu, ça veut dire que je ne peux pas défendre la Suisse et qu'on aurait du abandonner la position et faire venir d'autres renforts...

En tout cas, au pire, je ne désespère pas de pouvoir tenir Genève même contre des forces plus nombreuses avec les renforts.

Il faut juste que la garnison ne capitule pas avant que je sois de retour, ou que les français reçoivent leur renforts et m'empêchent de lever l'investissement de la ville

Je continue d'espérer que l'armée d'Italie ne va pas trop se presser vers Genève. Voire, qu'elle va partir vers Lyon.

En fait, vu les itinéraires et les vitesses de marche, ça peut vraiment se jouer à pas grand chose. Mais je veux pas infliger une contre marche demain, je veux laisser le temps à Sommariva de se rapprocher, je veux que mes hommes ne soient pas trop fatigués avant de devoir se battre et laisser les français dans le doute (le plus possible en tout cas) quand à mes intentions.

Le 23 février vers 20h, Thonon

Notre unité a achevé son regroupement dans le secteur de Thonon. Peu à dire sur la marche du jour, sinon quelques patrouilles françaises de loin en loin que notre cavalerie n'a guère eu de problème à prendre en chasse.

Les Français ont bloqué les accès vers Genève, mais semblent clairement manquer d'effectifs pour mener un siège en règle. Il semble cependant qu'une autre formation soit arrivée pendant l'après-midi, vraisemblablement le détachement repéré à Frangy il y a deux jours.

Sommariva confirme son arrivée probable pour le 25, du moins pour son unité d'avant-garde.

Pas de rapport bouleversant venant de nos patrouilles, sinon les habituels accrochages avec les patrouilles françaises. Toujours aucun repérage assuré de l'armée française d'Italie.

Le 24 février vers 12h

Nos forces se réorganisent tranquillement dans le secteur de Thonon.

Les Français sont immobilisés autour de Genève.
Le croisement des informations issues de nos reconnaissances et des rapports de civils semblent laisser entendre que l'armée française d'Italie a bien dépassé Chambéry et serait à 3 ou 4 jours de Genève. Le renforcement des patrouilles ennemies n'a comme de juste pas permis de confirmer quoi que ce soit mais l'état-major semble être unanime sur la validité de cette information.

J'ai toujours la crainte qu'une colonne française marche sur mes arrières par les vallées.

Si je contrôle Genève, tout va relativement bien, mais si je suis coupé de Genève ET de mes arrières, c'est la mierda.

Les français ont pu le voir et y penser.

Ce qui me sauve, c'est les distances... Et je pense qu'avec mes recos j'aurais déjà vu quelque chose si une colonne allait par là bas.

Mais bon.

A tout hasard j'envois des recos sur les arrières de Sommariva (et je demande à Sommariva de faire de même) , via Saint-Maurice, Martigny, Val d'Orsin. Et Sambranchier et Saint-Pierre.

Je reste sur l'idée d'un repos aujourd'hui (cavalerie en avant en couverture) pour reprendre la marche demain (en espérant qu'il fera beau aussi).

Quelles sont les conditions pour une marche de nuit ? L'autoriserais-tu ?
Si je veux surprendre les françouzes, j'ai peut-être intérêt à tenter ça (ou continuer ma marche de demain de nuit, mais je préférerais arriver dans la matinée).

Déjà je vais estimer le nombre d'heures de marche.

Edit

30km

+ou- 15h de marche.

Ca se tente.

Edit de mon edit

Plutôt 40km en longeant le lac, ce qui semble être la route historique. Donc plutôt 20h de marche (normale, de nuit, je ne sais pas).

Ce qui signifie qu'il vaut mieux partir le matin du 25 et arriver dans la nuit pour attaquer le lendemain si nécessaire.
Plutôt que partir dans la nuit du 24 au 25 et arriver le 25 en fin de journée.  

Quel est l'état de la troupe ?

Les marches de nuit n'ont pas à être autorisées, vous pouvez toujours en faire.
(il faut juste se dire que ça désorganise/fatigue nettement plus vite vos hommes, comme de juste)

C'est quand vous avez envie de combattre de nuit que je commence à rechigner.

La troupe est relativement en bon état, et ce sera encore mieux à la fin de la journée si le repos se poursuit.

Le 24 février vers 16h, Thonon

Pas de mouvement français dans le secteur de Genève.

Un rapport d'un éclaireur avancé du secteur de Chambéry semble laisser entendre qu'une division française est partie de la ville durant la nuit sur la route d'Aix-les-Bains, et qu'une autre a pris le même chemin quelques heures plus tard.

Sommariva confirme que la route est dégagée pour lui et qu'aucune force française n'a été repérée dans toute sa zone d'opération. Il a établi un dépôt à Saint-Maurice et le Simplon est totalement sécurisé par les forces de Bellegarde. Sauf incident, son avant-garde sera à Thonon en fin d'après-midi demain, et ses deux divisions de ligne dans la journée du 26.

Le 24 février, vers 22h

Nos forces se sont totalement réorganisées. Au dernier décompte nos forces s'élèveraient à environ 7 500 hommes, dont à peu près 700 cavaliers.

Pas d'alerte immédiate, mais les rapports quant à l'armée française d'Italie confirment définitivement un mouvement parti de Chambéry au début de la nuit du 23 au 24. Nos patrouilles sur la route d'Annecy n'ayant rien signalé, il est vraisemblable que l'itinéraire d'Aix-les-Bains ait été préféré.
L'état-major est assez partagé d'opinion, mais l'inquiétude est présente.

Rapports beaucoup plus optimistes pour Sommariva. Pas d'unité française repérée, sa marche vers Thonon devrait se poursuivre et se conclure dans les deux jours pour toute sa colonne.

Mouvement de nuit lui aussi ?

va faire le forcing...

80km et des brouettes.

20h de marche lui aussi (s'il marche à 4kmh comme je le soupçonne vu les parties précédentes, mais peut être que ses QG et son train sont aussi lents que moi)

Mais il est déjà parti depuis le 23 dans la nuit.

Il sera à Genève avant moi. :/

Bon, je vais avancer quand même et attendre d'autres recos.

Mais du coup la possibilité de lever le siège de la ville me semble à oublier.

Le dernier coup de poker sera d'attaquer en force avec Sommariva.

Mais si les franssouzes sont bien 6000 + 30 000 ça risque de juste pas être possible.

Après, j'attaquerais quand même, au risque d'être méta et gamey, parce que si on perd Genève on est mal et comme je l'ai déjà dit, si je n'avais pas les forces nécessaires pour tenir la Suisse, ça veut dire qu'on a mal géré la strat depuis le début et que j'aurais du décarrer. Donc qu'on a déjà perdu.

Le seul espoir (le but de ce plan à vrai dire) serait que du coup on ait une grosse supériorité contre Augereau (ce qui serait logique si les forces sont équilibrées et vu le sacrifice en PV qu'on a fait en début de partie), mais vu les dernières nouvelles de HH, je suis inquiet*...

C'est là ou je paye mon peu d'investissement dans la partie et mes hésitations sur la conduite à tenir au moment où j'étais à Genève.

J'aurais pu rester et tenir la ville le plus longtemps possible, mais je n'avais pas envie de me faire enfermer.
J'aurais pu passer par la rive nord et avec le recul, ça semblait être le meilleur choix.
Mais je voulais faire jonction avec Sommariva le plus rapidement possible pour essayer de défendre Genève quand même (les PV font mal), en passant par le nord, je me donnais plus de marge de manoeuvre et de possibilités tactiques, mais de fait, j'abandonnais la ville pendant plusieurs jours au risque de la perdre pendant que je manoeuvre.

Vu que c'est ce qu'il risque de se passer quand même et qu'en plus, je ne peux plus filer vers HH rapidement, c'était une erreur de ne pas le faire, mais sur le coup j'ai hésité.

En fait, j'ai joué l'attentisme et la prudence, en partant du principe que c'est censé être une campagne qui doit s'étaler sur plusieurs semaines vu nos forces de départ et l'importance de nos renforts.
Le problème, c'est que comme souvent au vol de l'aigle, tout semble se jouer dans les premiers jours et les joueurs offensifs immédiatement voient le plus d'actions et reçoivent les dividendes de leurs mouvements.

*Ce qui m'inquiète dans son message, c'est que bien que mes éléments détachées aient apparemment pu faire jonction avec lui sans se faire gangbanger comme je le craignais, ce qui est une TRES bonne nouvelle, il ne semble pas avoir eu les forces nécessaires pour l'emporter contre Augereau.

Ca veut dire que sa colonne plus la moitié de la mienne c'est encore trop juste contre Augereau seul !

Et moi j'ai peut-être 36 000 (ou 26 000, va savoir...) français en face ?!

Autre chose qui me turlupine depuis le début.

Les routes de ce foutu pays.

Jusqu'à maintenant je me suis soucié de me regrouper, pas de détacher des forces, mais l'armée d'Italie a les moyens d'avancer sur moi par plusieurs chemins.

Ce qui fait que j'ai préféré reculer à Thonon, c'est aussi le risque de voir une colonne française débouler sur mes arrières à Genève et me couper.

Or, jusqu'à preuve du contraire, l'armée d'Italie semble marcher comme un immense serpent sur la route de Turin à Chambéry (et maintenant de Chambéry à Genève).

J'ai du mal à le croire.

Surtout s'ils sont aussi nombreux que ce con de Bellegarde le laisse entendre.

Déjà, parce qu'il se ralentit et se pourri la vie tout seul en faisant ça et en outre il perd une partie de ce qui fait la force des français, leurs divisions plus mobiles.

Mais rien, walou, nakache. J'ai rien vu d'autres, que des rumeurs de français sur la route de Chambéry et de Genève.

Alors, je me suis peut être trop focalisé sur les routes (qui sont pas légions dans ce pays et sur cette carte), on peut marcher en hors piste aussi... mais là c'est de la putain de montagne, en hiver (!!!), et même en hors piste, mes recos auraient du repérer des mouvements (à priori).

Je suis dans l'incertitude, alors que tout me pousse à penser que j'ai la totalité des forces françaises qui fait marche sur Genève. (Ce qui, soit dit en passant, est une nouvelle de merde malgré tout).