FERDINAND von BUBNA und LITTITZ
Commandant de la colonne dite "de Genève". Tout a commencé comme dans un rêve, avec une promenade militaire à travers le pays de Vaud, puis la vallée du Rhône. Limite c'était trop facile quoi.
Du coup, pour se donner un handicap, Bubna a choisi d'éclater sa colonne en petits paquets dispersés et a renoncé à attaquer Lyon, parce que bon, juste quelques éléments d'une division pour la défendre, c'était suspect. Trois semaines plus tard, il a laissé Augereau rassembler tranquilou une nouvelle armée, pour le sport quoi, sinon ce ne serait pas drôle.
Il est un peu dans la merde maintenant, mais le maréchal Schwarzenberg a juré qu'il volerait à son secours. Très très vite.
FRIEDRICH von HESSEN-HOMBURG
Pas encore landgrave en fait (papa est encore vivant...) mais bientôt. C'est son premier gros commandement autonome, alors il s'agirait de pas se foirer. Avantage : pas de Napoléon ni de Schwarzenberg, les chances de succès sont nettement meilleures.
Problème : avant d'aller faire le foufou du côté de Lyon ou de Genève, il va d'abord falloir se constituer une véritable armée...
FRIEDRICH von BIANCHI
Après une belle carrière militaire passée ces vingt dernières années à voir ses troupes participer à toutes les déculottées subies par les Autrichiens contre les Français, l'heure de la revanche a sonné ! Jusque là limité à des postes de divisionnaire et quelques médailles à l'ancienneté, les choses vont bien mieux depuis l'an passé. Il va être temps de poursuivre sur cette courbe ascendante...