QG du Prince de WÜRTEMBERG (DrussDahran)

*** RAPPORT ***

(vers 8 heures)

L'activité de cavaliers français est confirmée au sud vers Evry.

Les Français semblent s'être installés à Villemaur. Un écran de cavalerie légère protège leur dispositif. Il s'agit à l'évidence d'une formation importante, certainement supérieure à 10 000 hommes.


Le prince de Hesse-Homburg signale que le pont de Méry-sur-Seine a été détruit conformément aux instructions. Ses formations ont pris la route de Plancy, qu'elles devraient atteindre vers midi.




*** MESSAGE DU MARECHAL SCHWARZENBERG ***

(vers 8h)

Citation :

Général, j'accuse réception de votre message du 25 juillet reçu ce même
jour à 8h30 du soir. L'éparpillement de vos troupes est dangereux, il
faut que vous rameniez les divisions situées à Langres et Bar-sur-Aude
sur Troyes à marche forcée. Ne vous inquiétez pas pour le sud, le
I&II Corps devrait rapidement atteindre Langres.
La construction du dépôt et vos autres dispositions sont approuvées.
Pensez à envoyer des reconnaissances sur les positions françaises et sur les axes menant à Troyes.

Maréchal Schwarzenberg, à Mesnil-la-Horgne, 8 heures et demie du soir , le 25 juillet 1815

Ordre urgent au Prince de Hesse-Darmstadt

Remontez à marche forcée de 20h sur Troyes immédiatement.

Aucune nouvelle du Prince de Hesse-Homburg ?

Pas encore. Le temps qu'il atteigne Plency et que les messages n'arrivent, il faut compter pour le début d'après-midi.

*** RAPPORT ***

(vers 15 heures)


Les reconnaissances au sud indiquent qu'une formation de cavalerie française a atteint Auxon. C'est vraisemblablement elle qui multiplie les reconnaissances dans le secteur de Troyes.


*** MESSAGE DU PRINCE DE HESSE-HOMBURG ***

(vers 15 heures)

En approche de Plency, sommes entrés en contact avec un puissant parti de cavaliers français déjà positionnés dans la ville, un peu après 11 heures.

Dans le doute, avons adopté une formation de combat. La prise de la ville risque de s'avérer délicate.


*** MESSAGE DU MARECHAL SCHWARZENBERG ***

(vers 15 heures)

Citation :

Général, j'accuse réception de votre message de 9h du 25 juillet. Je
vous informe que le Maréchal Wrede se replie sur Saint-Dizier depuis
Châlons, d'importantes forces ennemies avançant sur ses positions
depuis le nord et l'ouest.
Pensez donc à surveiller votre flanc nord, l'ennemi pouvant arriver depuis Châlons.

Maréchal Schwarzenberg, à Mesnil-la-Horgne, 5 heures du matin le 26 juillet 1815.

Ordre au Prince Philippe de Hesse-Homburg

Prince, vous devez reprendre Plancy aux français et détruire le pont. Il ne devrait pas être si difficile pour votre infanterie et votre artillerie de déloger des cavaliers sans aucun soutien.
Ayez à l'esprit que si vous ne rejeté pas ces cavaliers dans les plus brefs délais, vous pourriez avoir à affronter de nombreux fantassins et artilleurs en supplément, rendant votre tache fort incommodante.

Faites bien comprendre à vos hommes que vous ne pouvez que vaincre, un repli maintenant n'est pas envisageable, vous seriez taillés en pièces par ces cavaliers.

------------------------------------------------------------

Ordre au Prince de Hesse-Darmstadt

Redirigez vous sur Bar-sur-Seine et sécurisez le pont.

------------------------------------------------------------

Missive au maréchal Wrède et au général Czernichev

La 1e division de Hesse-Homburg est entrée en contact avec un fort parti de cavalerie à Plancy vers 11h ce matin. Ordre leur a été donné de reprendre Plancy et de détruire le pont. Il est à craindre que ces cavaliers attendent du renfort. Si le prince Philippe n'arrive pas à détruire ce pont, je crains que nos positions soient en grand danger.

Hélas je ne peux guère envoyer de renfort à Plancy, ni vous d'ailleurs. Cependant je ne puis me replier de Troyes. Je vous laisse juge de la situation, que Dieu soit avec nous.

Prince Guillaume de Würtemberg Troyes 15h le 26 juillet

---------------------------------------------------

Missive au maréchal Schwartzenberg

Maréchal,

La 1e division de Hesse-Homburg est entrée en contact avec un fort parti de cavaliers français à Plancy à 11h ce matin. Nous avons ordonné de reprendre la ville et de détruire le pont, cependant la réussite de l'opération est fort incertaine.

Au sud les cavaliers français ont atteint Auxon, j'ordonne à la 1e division de Hesse-Darmstadt de se rediriger vers Bar-sur-Seine pour tenir le pont.

Prince Guillaume de Würtemberg à Troyes 15h le 26 juillet

-------------------------------------------------------

Question : sachant qu'Auxon est à peu près à 7000 toises de Troyes, combien de temps faudrait-il à de la cavalerie pour y arriver ? Parce que moi les toises je sais pas combien ça fait en kilomètres.

Pour une grosse vingtaine de kilomètres entre Troyes et Auxon, il faudrait au minimum six heures à ta cavalerie pour atteindre le bourg.
Si tu le veux, tu peux la faire démarrer à 16 heures.



*** MESSAGE DU PRINCE DE HESSE-HOMBURG ***

(vers 18h)


Plancy, évacuée par les cavaliers français sans combat, est désormais en passe d'être entièrement occupée par nos forces.
Les Français se sont apparemment retirés vers le nord, sans que nous puissions espérer les accrocher ou les poursuivre.

Ordres au général Palombini

Envoyez vos cavaliers légers éclairer Auxon.

Ordres au prince Adam

Tenez vous prêt à suivre les cavaliers légers de Palombini à partir de 18h. En cas de rencontre avec de l'infanterie, faites immédiatement retraite vers Troyes.

-----------------------------------------------------------

Ordre au Prince Philippe de Hesse-Homburg

Préparez la destruction du pont de Plancy et envoyez vos cavaliers légers reconnaître vers Sezannes, Ferre Champenoise, Mailly.

-----------------------------------------------------------

Missive au maréchal Schwarztenberg avec copie pour le maréchal Wrède et le général Czernichev

Dans l'après-midi du 26 juillet le Prince de Hesse-Homburg a repousser les cavaliers français sans combat de Plancy. Ceux-ci ont pris la fuite comme-ci le diable était à leurs trousses.
Le prince a ordre de miner le pont par précaution et surtout de reconnaître l'autre rive de la Seine jusqu'à Sezanne.

Prince Guillaume de Würtemberg à Troyes 18h le 26 juillet.

*** MESSAGE DU MARECHAL SCHWARZENBERG ***

(vers 21 heures)

Citation :

Missive au Prince de Wurtemberg:

Général, Reims est tombée aux
mains des Français. Les effectifs ennemis sont estimés à plus de 50000
infanteries et 10000 cavaliers dont des unités de la Garde.
J'ai
ordonné au corps de réserve de l'Archiduc Ferdinant de marcher sur
Saint Dizier. Vous n'aurez donc comme renforts que celui du Prince de
Hohenzollern-Hechingen. Toutefois, l'essentiel des forces ennemies
étant a priori au nord, cela devrait vous permettre de tenir Troyes
mais également d'avancer sur les positions françaises de votre secteur
et de les prendre.
Pensez à mettre la date, l'heure et le lieu dans toutes vos missives.

Maréchal Schwarzenberg, proche de Saint Dizier, 14 heures , le 26 juillet 1815

*** MESSAGE DU GENERAL CZERNICHEV ***

(vers 22 heures)

Citation :

Vitry, 26 juillet 1815, 19h

Prince Wurtemberg,

J'spère
que vous pourrez tenir Troyes. Nous avons évacué la Champagne et sommes
regroupé à Vitry alors que les Français sont sur nos talons. Les
Français cherchent à en découdre au plus vite pour battre séparément
les corps d'armée coalisés. Les laisser faire nous condamnerait.
N'hésitez pas à vous replier si le danger est trop grand.

Que Dieu vous aide.

Général Czernichev.

*** MESSAGE DU PRINCE DE HESSE-DARMSTADT ***

(vers minuit)


Notre division est, à 18 heures, à quelques kilomètres du village de Leffond, sur la route de Richebourg que nous espérons atteindre au début de la nuit.

Nous avons reçu vos nouveaux ordres et prendrons la route de Bar-sur-Aube, mais nous risquons de ne pas atteindre notre destination avant demain soir, au mieux.


*** MESSAGE DU PRINCE DE HESSE-HOMBURG ***

(vers minuit)


Le pont de Plancy peut désormais être détruit à tout moment. Nos reconnaissances sont parties depuis moins d'une heure désormais. Aucun contact avec les Français n'a pour le moment été signalé, mais quelques reconnaissances françaises ont été repérées dans le secteur.



*** RAPPORT ***

(vers minuit)

Les Français occupent Auxon avec une unité de cavalerie, au moins mille hommes. C'est à partir de là qu'ils envoient des troupes en éclairage vers Troyes et à l'est.

Toujours aucun mouvement des Français installés à Villemaur. Pas de renseignement supplémentaire obtenu.



*** MESSAGE DU MARECHAL SCHWARZENBERG ***

(vers minuit)

Citation :

Général, j'accuse réception de vos messages de 4h et 15h du 26 juillet.
Maintenez la concentration de vos forces sur Troyes et pensez à
communiquer avec les forces du Prince de Hohenzollern-Hechingen sur
votre situation.

Maréchal Schwarzenberg, Saint Dizier, 20 heures , le 26 juillet 1815

Ordre au Prince de Hesse-Homburg

Détruisez le pont de Lancy et faites route vers Arsis. Une fois arrivé vous devrez sécuriser la ville et le pont. Celui-ci ne doit pas être détruit ni perdu. Nous devons le tenir coute que coute.

--------------------------------------------------

Ordre au général Palombini

Votre cavalerie légère va devoir couvrir au maximum l'avancée de la cavalerie du Prince Adam, pour cela sa priorité sera de détruire les reconnaissances françaises sur la route Auxon-Troyes, laissez faire les autres reconnaissances.

---------------------------------------------------

Ordre au Prince Adam, cavalerie würtembergeoise

Faites route vers Auxon. Vous devez en déloger les français en tuant un maximum de cavaliers ennemis. Vous devrez si possible les prendre par surprise. Une fois votre raid achever rentrez à Troyes. Interdiction de poursuivre les français.

----------------------------------------------------

Message au général Czernichev.

Général,

Le pont de Plancy va être détruit, puis la 1e division de Hesse-Homburg se dirigera vers Arsis pour sécuriser le pont. Celui-ci ne sera pas détruit pour conserver la liaison entre nos forces. Je crains que me replier de Troyes ne soit pas envisageable. Céder cette position nous serait trop couteux, c'est pourquoi je la défendrai quelqu'en soit le prix.

Prince Guillaume, 26 juillet 1815 minuit

----------------------------------------------------

Message au Maréchaux Schwarzenberg et Wrède

Maréchal,

J'ai ordonné la destruction du pont de Plancy. Une fois réaliser, la 1e division de Hesse-Homburg se dirigera vers Arsis et sécurisera le pont et le tiendra pour maintenir la liaison avec le IVe corps.

La division de Hesse-Darmstadt n'atteindra Bar-sur-Seine que demain dans la soirée au mieux.

La cavalerie française à Auxon ne comptant que 1000 cavaliers, j'ai ordonné un raide avec ma propre cavalerie moyenne pour leur infliger un maximum de pertes.

Toujours aucun mouvement des français à Villemaur.

Prince Guillaume, 26 juillet 1815 minuit.

--------------------------------------------------

Message au Prince de Hohenzollern-Heichingen

Prince,

Bar-sur-Seine devrait être sécurisé dans la soirée de demain par la division de Hesse-Darmstadt.

La division de Hesse-Homburg va détruire le pont de Plancy puis prendre la route d'Arsis pour sécuriser le pont et le tenir.

Moi-même je reste à Troyes et tiens la ville. J'attends de vos nouvelles pour connaître votre avance.

Prince Guillaume, 26 juillet 1815 minuit

*** RAPPORT ***

(vers 6 heures)

Comme convenu, les cavaliers du prince Adam ont pris la route d'Auxon il y a une heure.
Toujours aucun mouvement depuis Villemaur. Les Français y sont demeurés rassemblés en observation.

*** MESSAGE DU MARECHAL SCHWARZENBERG ***

(vers 9 heures)

Citation :

Général, j'accuse réception de votre message du 26 juillet minuit. La
situation semble sous votre contrôle, toutefois ramener la division de
Hesse-Homburg sur Troyes, seule elle est trop exposée. Laissez des
cavaliers à Arcis pour vous avertir d'une approche ennemie.
De même
la division de Hesse-Darmstadt devra gagner Troyes. Une fois vos forces
rassemblées, vous pourrez marcher sur Villemaur si la situation n'a pas
évolué d'ici là.

Maréchal Schwarzenberg, Saint Dizier, 5 heures , le 27 juillet 1815

*** MESSAGE DU MARECHAL DE WREDE ***

(vers 9 heures)

Citation :

Vitry, le 27 5h00,

Prince, j'ai ete accroche en fin de journée par le corps du marechal ney.
Il est fort probable qu'il cherche a me terminer demain ou apres demain.

En
consequence, je suis au regret de vous informer qu'il me sera
impossible de venir vous soutenir a Troyes dans les jours qui viennent.
Je
ne sais pas si vous etes particulierement sous pression, mais j'estime
que tant que mon corps n'aura pas ete detruit par les francais, je
reste leur proie principale (sur la base des mouvements de troupes que
j'ai pu observer).
en effet, nous savons que les colonnes francaisse etant passer au nord de votre position sont remontées sur chalon.

Marechal de Wrede

Bon on va encore changer le plan de marche de la pauvre division de Hesse-Darmstadt

Ordre à la division de Hesse-Darmstadt

Dirigez vous vers Troyes et non plus vers Bar-sur-Aube.

-------------------------------------------------------

Ordre à la division de Hesse-Homburg

Laissez vos cavaliers légers à Arcis, qu'ils établissent des reconnaissances vers le nord pour nous prévenir de mouvements français vers Troyes.
Que votre infanterie revienne à Troyes.

*** MESSAGE DU PRINCE DE HOHENZOLLERN-HECHINGEN ***

(vers 11 heures, copie d'un message adressé à Schwarzenberg)

Citation :

Bourbonne-les-Bains, jour 2, 19h :
venons de recevoir à l'instant votre message.
Demain C. devrait être à ~7km de Langres.
Demain H devrait être à ~33km de Chaumont.
Parcourons ~20km/jour.

*** MESSAGE DU PRINCE DE HESSE-HOMBURG ***

(vers 13 heures)

Nos troupes ont pris le contrôle d'Arcis-sur-Aube. D'après les interrogatoires menés auprès des autorités de la ville, celle-ci était il y a peu occupée par des cavaliers français. Nos reconnaissances ont confirmé ce fait, et la colonne française a été repérée comme allant dans la direction de Vitry-le-François.

Message aux maréchaux Schwarzenberg et Wrède et au général Czernichev.

La division de Hesse-Homburg contrôle Arcis récemment évacuée par la cavalerie française dont la colonne se dirige sur Vitry-le-François.
Nous maintenons la division sur place.

Prince Guillaume de Würtemberg, Troyes 27 juillet 1815 13h

------------------------------------------------

Ordre à la division de Hesse-Homburg

Annulation de l'ordre précédent. Restez à Arcis pour le moment. Assurez une position défensive efficace. Reconnaissez la rive nord.

------------------------------------------------

*** RAPPORT ***

(vers 14 heures)

Le prince Adam a signalé que la cavalerie française d'Auxon s'est déployée en positions et a engagé le combat. Les premiers accrochages sont incertains, mais les Français semblent au moins aussi nombreux et leur assurance tend à faire douter le prince.


Toujours rien à signaler autour de Villemaur.

Que le Prince Adam se sorte les doigts du cu et fasse ce qu'on lui a demandé : viander les français à Auxon.

*** RAPPORT ***

(vers 15 heures)

Les troupes françaises de Villemaur ont entamé un mouvement offensif en direction de Troyes. Elles peuvent arriver face à la ville d'ici moins de trois heures à leur rythme actuel.
Nos reconnaissances signalent approximativement 20000 hommes en marche.

Message au prince Adam

Si vous devez vous replier faites le vers Bar-sur-Aube.

-------------------------------------------------------

Message au Prince de Hesse-Homburg

Faites redescendre votre division sans sa cavalerie à Troyes.

--------------------------------------------------------

Message au Maréchaux Scharzenberg, Wrède, au Prince de Hohenzollern-Hechingen et au général Czernichev

Environ 20000 français marchent vers Troyes, ils arriveront dans 3 heures.

Prince Guillaume de Würtemberg Troyes le 27 juillet 1815 à 15h.

----------------------------------------------------------

*** RAPPORT ***

(vers 18 heures)


Le prince de Hesse-Darmstadt signale que sa division devrait atteindre la Ferté-sur-Aube en fin d'après-midi.
La prince de Hesse-Homburg rapporte avoir reçu votre ordre et se met en route dès que possible. Il signale cependant qu'une colonne française a été repérée autour de Plancy, et il est possible qu'elle s'avance vers Arcis.

La colonne française s'est déployée entièrement au devant de Troyes. On peut compter au moins 25 000 hommes, vraisemblablement un corps d'armée complet. Ils semblent demeurer en attente, dans le but d'évaluer nos positions. Pour le moment, ils se contentent de reconnaissances et d'un bombardement en règle de nos positions les plus exposées.

*** RAPPORT ***

(vers 18h30)

Les mouvements initiés par les Français laissent deviner une tentative d'investissement de la ville en vue d'un siège. Leurs cavaliers, notamment, engagent un mouvement pour couper la route du nord.

Message aux maréchaux Schwarzenberg, Wrède, au prince d'Hohenzollern-Heichingen et au général Czernichev

27 juillet 1815 18h, 25000 français sont devant Troyes et se préparent vraisemblablement à nous assiéger.
A 18h30 leur cavalerie commence un mouvement pour bloquer la route du Nord.

Parallèlement le prince de Hesse-Homburg venant de Plancy se dirigerait vraisemblablement vers Arcis. La situation est tendue. Si ils vous étaient possible d'accélérer la marche j'en serais rassuré.

Nous tiendrons le plus longtemps possible.

Prince Guillaume de Würtemeberg à Troyes 27 juillet 18h30

--------------------------------------------------------------------

Que la réserve d'artillerie pilonne les positions française sur notre droite pour gêner leurs mouvements vers le nord de Troyes. Parallèlement que la cavalerie de la division Palombini se placent au nord de nos positions.

Envoyez des messagers au Prince Adam pour l'informer de la situation.

Petite erreur de ma part sur la destination de retraite du Prince Adam. Il s'agit évidemment de Bar-sur-Seine

*** RAPPORT ***

(vers 19 heures)

Le prince Adam signale que ses cavaliers sont en train de plier devant Auxon. Il craint de devoir ramener sa division vers Troyes sévèrement secouée.

Les Français poursuivent leurs manoeuvres d'encerclement de la ville. Si rien n'est fait, il devrait être effectif durant la nuit. L'arrivée de la division de Hesse-Homburg est surveillée à la lunette.